RetourLes Mystères de Sirus

La découverte

En 1950, deux anthropologues français, Marcel Griaule et Germaine Dieterlen, découvrirent que Sirius B, (étoile invisible à l'oeil nu), était depuis des siècles la clé de voûte céleste de la cosmologie d'une tribu africaine, les Dogons. En 1931, les deux scientifiques étaient partis s'installer avec les Dogons pour les "étudier", cette tribu vit dans une région semi-désertique aux confins du Sahara.
Après plusieurs années passées avec la tribu, les Français se furent accepté par les Dogons qui acceptèrent de leur expliquer leur cosmologie.
Les sages de la tribu tracèrent sur le sol à l'aide de bâtons la voûte céleste telle qu'ils se la représentaient.
Griaule vit apparaître le Grand Chien et, gravitant autour, une étoile plus petite ainsi qu'un autre corps que les astronomes n'avaient pas encore détecté.
Cette étoile, confièrent les "astronomes" Dogons au scientifique, met 50 ans pour faire le tour de Sirius. Elle est si petite qu'ils lui avaient donné le nom de la graine la plus minuscule qu'ils connaissaient, la Digitaria Exilis, appelée « PO » dans leur langue.


Les prêtres Dogons

Croyance Dogon :

Sirius B, celle que l'on nomme "L'étoile Digitaria"; les Dogons la considèrent comme la plus petite et la plus lourde des étoiles; elle contient les germes de toutes choses. Son mouvement sur son propre axe et autour de Sirius soutient toute la création spatiale.

La tradition des Dogons, (d'après le prêtre OGOTEMMELI ), dit aussi que leurs ancêtres étaient des hideux amphibiens et c'est pour cela qu' ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d'OANNES l'homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes. Le NOMO était rouge comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il pu ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs l'eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l'eau douce est de nature masculine et l'eau de mer de nature féminine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l' humidité est partout. NOMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les "champs du Ciel" et après avoir créé la Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche terminée, Nomo regagna le Ciel.

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La cérémonie de la rénovation du monde

Digitaria contient les germes de toutes choses. Son mouvement sur son propre axe et autour de Sirius soutient toute la création spatiale. Digitaria effectue son orbite autour de Sirius en 50 ans. C’est pourquoi tous les 60 ans une cérémonie sacrée de Rénovation de Monde est célébrée par les Dogons.  

Sirius chez les Perses :

Si aujourd’hui les mystères de Sirius (d’après les Dogons) sont largement connus des anthropologues et autres spécialistes en la matière, en revanche aucune étude n’a était entreprit du côté de la civilisation Perse. Tout comme les égyptiens, les perses accordaient une place centrale au système de Sirius. D’après Robert Temple les Dogons sont entrés en contacte avec de « hideux extraterrestres Amphibiens » : les Nommos, il y 5000 ans. Pourtant les Perses connaissaient déjà Sirius depuis plus de 7000 ans !

Vénéré par les anciens Mages et les anciens zoroastriens, Sirius était alors appelé Tištriya (tri-str-iya ; composé de trois étoiles !) ; ce qui littéralement veut dire : L’étoile à trois ! Que le Véda pût leur emprunter ce nom, cela montre à suffisance que les connaissances astronomiques des Perses étaient largement réputées à époque fort ancienne jusque dans l’Inde védique.
L’appellation de Tištriya est en soi la preuve que les Perses connaissaient le secret de Sirius. Dans la mesure où le premier satellite de Sirius a été découvert qu’en 1862 (par l’astronome américain Alvin.Clark) et le deuxième seulement en 1932, il  est évident que l’hypothèse d’un réel contacte entre les habitants de Sirius avec le clergé des Mages Mazdéens doit être prise au sérieux.      

Les zoroastriens vénéraient les étoiles, et chaque étoile possédait un rand et une place spécifique. Le général qui commande aux étoiles est Tištriya. Le soleil et la lune honore le grand général qui est à la tête des étoiles dans le combat contre les démons. Celui-ci compte sur les planètes pour lui prêter main forte. Tištriya et le patron des eaux. Il est le dispensateur de la vie, des richesses, du bonheur et il joue un rôle prépondérant dans le cycle des eaux. Avec l’aide des vents, il prend les eaux du lac sacré Varukarta (la voie lactée), mais pour accéder à ce lac, il doit lutter contre Apausha, le démon de la misère. Sa victoire, conditionnée par la correction du culte qui lui est rendu, ramène la pluie pour que les rivières se gonflent et que la terre en soit irriguée. Tištriya était également connu pour possédait toutes les germes de la vie. Les Dogons disaient que si une petite pierre de Digitaria tomber sur terre, personne ne serait capable de la soulever tellement elle serait lourde. Les récentes études scientifiques qualifient Sirius B comme étant une naine blanche d’une incroyable densité ! Une pincée de la matière de Sirius B pèserait environ 100 000 tonnes !      

 

Jouant un rôle central dans la liturgie et la eschatologie zoroastrienne, un Yasht est dédié à Tištriya dans le livre sacré le « Zend Avesta ». Voici quelques passages de Tishtar Yasht :

 

« Tištar Yašt »

Au nom des Yazata (les anges, littéralement les « adorables ») que le seigneur bienfaisant Ahura Mazda la gloire et le Khvarnah (la lumière divine) s’accroissent ! Que vienne aussitôt le riche et fortuné Tištriya sur les lieux du sacrifice que nous lui  offrons …     

Tištriya dit à Zaratushtra : Mon khvarnah, quand il accompagne les astre, ainsi pourvus de khvarnah, plutôt que la Lune, les Yazata le distribuent aux hommes …

 Tištriya avec qui réside Râman (acolyte de Mithra)  Tištriya qui dans l’au-delà dispose des bonnes résidences, Astre rosâtre, brillant, visible …

Tištriya qui évolue dans le ciel vers le lac Varukarta à la vaste fosse, avec la même vibration tournoyante que la flèche Tigri (la piquante), quand elle volait obéissant à la volonté de Spenta Manyu, flèche qu’avait tirée Arasha à la flèche vibrante, le meilleur des Arya, pour tirer des flèches vibrantes, depuis le mont Aryaxshutha [le mont polissoir, sur le rocher duquel les Ariens viennent aiguiser leur armes ; chaîne de Alborz], jusqu’au mont Huvanvant (le mont ensoleillé) …            

Car si les mortels m’offraient un sacrifice dans lequel mention serait faite de mes noms ainsi qu’ils le font pour les autres Yazata, qui eux se voient ainsi honorés par les sacrifices comportant la mention de leurs noms, je pourrais à l’envie mettre en marche la durée du temps non découpé de ma propre vie, laquelle est ensoleillé et immortelle, et surgir (faire acte de présence, intervenir, apparaître) pour une seul nuit, ou deux, ou cinquante ou cent du temps découpé …

 


Bas relief de Persepolis / L'été (lion) chassant le printemps

Ce dernier passage du live sacré démontre que l’utilisation de certains rites magiques (incantations, offrandes, sacrifices) permettait au clergé des Mages mazdéens de communiquer avec des entités Siriusiennes.

Le cycle Sothiaque et Sirius chez les Egyptiens :

Sirius était connu des anciens égyptiens comme étant le Grand Pourvoyeur. Elle est constamment invoquée dans les textes des pyramides :

Isis vient à toi, Oh Osiris joyeux dans ton amour
Ta semence pousse en elle, pénétrant comme Sirius.
Le pénétrant Horus se présente devant toi au nom de Horus-qui-est-en-Sirius.

Il semblerait que les anciens égyptiens considéraient Sirius comme étant le centre de notre système solaire. Ils utilisaient un calendrier à la fois, solaire, lunaire et Sothic. Le premier jour du premier mois de l’année fixe, ou la fête du nouvel an était déterminé par rapport au lever héliaque de Sirius. Un cycle Sothiaque est le laps de temps qui s’écoule entre deux levers de Sirius dans la partie orientale du ciel directement à l’aplomb du soleil. Sa durée est très exactement 365,25 jours, soit douze minute de plus que celle d’une année solaire. La date exacte du lever héliaque de Sirius (le jour du nouvel an) était calculée à Héliopolis la ville sainte des scriptes et des magiciens, pour être ensuite communiquée à tous les autres grands temples de la vallée du Nil. Les égyptiens attribuaient la déesse Isis (la mère d’Horus) à Sirius. L’étoile était également connu comme étant la demeure des dieux, le paradis céleste, une sorte de l’au-delà où irait les Pharaons après leurs morts.


Dans la grande pyramide "cosmique", Sirius occupe l'emplacement de la
"porte" obstruant le conduit dont il est la cible dans la pyramide terrestre.

D’où l’appellation des portes des étoiles attribuée à Sirius. Dans la grande pyramide la chambre de la reine servait à un accouplement symbolique (rituel de fécondation astrale), auxquels participaient le roi Horus sous sa forme humaine et la déesse Isis sous sa forme astrale (l’étoile Sirius). Dans le cadre d’un dualisme ciel-terre, on pouvait les croire mutuellement réliés par le conduit sud orienté vers le passage au méridien de Sirius, tel qu’il se présentait à l’âge des pyramides. Selon les textes des pyramides, Osiris a fécondé Isis à l’aube, au moment où Sirius (Sothis) traversait le méridien.   

La double nature de Sirius était également connue des égyptiens de l’antiquité qui l’assimilaient à la double nature de l’âme et à l’éternel quête de l’âme sœur.


Un être de Sirius


La barque de Sothis :
Parmi les divinitées de la barque de Sothis il y a :
Les huit dieux de Khemennu, frog-headed (divinité amphibien) and snake-headed !

Un peu d’Astronomie

Le Grand Chien (Canis Major) :

Situé complètement sur l’horizon sud en hiver, c’est par la ligne du baudrier d’Orion que l’on atteint le plus facilement cette constellation.

α du grand chien Sirius : l’étoile le plus lumineux du ciel
Magnitude : -1,42
Distance : 8,6 années-lumière (l’étoile le plus proche de la terre) ; brille comme 23 soleils.
β du grand chien Mizram : géante bleu pulsante.
Magnitude moyenne : 1,98 ; distance : environ 750 années-lumière ; brille comme 7600 soleil !

 

Sirius en Astrologie

Selon Aratus Canis Major est l’un des chien de chasse d’Orion. Le chien est un animal universellement connu comme étant le gardien de l’au-delà. Chez les zoroastriens il sert à éloigner le démon Nassoudj des corps des morts ! Chez les égyptiens il devient Anubis, le juge des morts et le dieu de la momification. L’étoile se trouve toujours à 13° de Cancer. Selon Ptolemé Sirius à une nature Jupitérienne. Robson dit qu’elle apporte les honneurs et la renommée. Ebertin dit qu’une personne marquée par l’étoile risque de précipiter les choses. Bien placé dans une carte natale, elle peut faire que le plus petite action de la personne ai une répercussion collective. Mais en même temps l’individu risque d’être sacrifier pour son ambition.
Abraham Lincoln est née lorsque Sirius culminait alors que son Venus déclinait. Il combattu et mourut pour son idéal (la liberté du peuple). La princesse Diana naquit avec Sirius culminant avec son soleil. Sa mort le rendu immortel !

Dans une carte natale Sirius bien placé, indique que par vos propres efforts, vous pouvez gagner plus que ce que vous auriez du. Une petite action peut devenir un symbole collectif. Autrement dit Sirius peut apporter la gloire, mais vous risquer de vous brûler les ailes.   

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